Les Fleurs de Bach : une petite histoire d’harmonie florale (avec le sourire, mais en douceur)
Dans les années 1930, Edward Bach, médecin anglais au regard déjà un peu tourné vers les étoiles, a eu cette idée toute simple et pourtant révolutionnaire : avant de tomber malade, c’est souvent l’âme qui se met à faire des bulles. Peur, tristesse, colère, indécision… ces petites tempêtes intérieures finissent par envoyer des signaux que le corps traduit à sa façon : rhume, fatigue, tensions…
Du coup, plutôt que de courir uniquement après le symptôme, il a choisi d’aller parler directement aux émotions. Et comment ? En demandant leur aide à 38 fleurs sauvages qu’il a patiemment écoutées, cueillies, et transformées en élixirs vibratoires. Chaque fleur correspond à une note précise de notre clavier intérieur. On peut en prendre une seule quand on sait exactement ce qui grince, ou composer des accords magistraux qui font chanter plusieurs émotions en même temps, un peu comme si Jean-Michel Jarre remixait votre karma.
Le tube absolu du docteur Bach reste le Remède d’Urgence : cinq fleurs qui arrivent comme une équipe de secours douce et efficace quand la vie fait un peu trop de bruit :
- Clématite : pour redescendre gentiment sur Terre
- Étoile de Bethléem : le baume après le choc
- Hélianthème : quand la panique prend toute la place
- Impatience : pour apaiser la tension qui trépigne
- Prunier cerisier : pour garder la tête froide même quand tout bouillonne
Jean Luc en vadrouille
D’où viennent les fleurs ?
Presque toutes les fleurs poussent heureux sous le soleil généreux du Var, de l’Ardèche ou de l’Isère. On les cueille au petit matin, quand elles sont au sommet de leur forme, et on les remercie (oui, on est comme ça). Exception chic et marécageuse : la Violette d’eau, qui nous oblige à faire un pèlerinage jusqu’aux étangs des Dombes ou, certains jours, jusqu’en Bretagne quand elle boude le sud.
On suit la recette originelle à la lettre, presque religieusement :
- Teinture-mère faite sur place, avec l’eau de la source voisine.
- Trois heures minimum de soleil franc pour les solarisées (et oui, il nous arrive de tout jeter quand un nuage farceur passe à l’improviste, c’est le jeu).
- Réchaud sorti du sac à dos pour les fleurs qui préfèrent la chaleur de l’ébullition.
- Cognac bio pour conserver le tout (le docteur Bach prenait du brandy, nous on prend l’accent français).
Ensuite, de retour dans notre atelier de Hyères-les-Palmiers, on dilue, on dynamise à la main, avec calme et respect. Rien n’est industrialisé, tout est fait comme si on préparait un cadeau.
Où dénicher la gamme FloriBach ?
En pharmacie (oui, oui, c’est déclaré complément alimentaire, on est sérieux cinq minutes).
Ou directement ici, sur le site, en deux clics et un sourire. Nos meilleurs ambassadeurs ? Les naturopathes et conseillers en fleurs de Bach qui pleurent de joie en découvrant enfin des élixirs respectueux de la tradition, sans cochonneries industrielles.
Si un jour votre cœur a besoin d’un peu de musique douce, sachez que 38 petites fleurs attendent patiemment de jouer pour vous. Elles ne font pas de bruit… mais elles savent remettre les choses en place, tout en douceur. 🌸